Avec l’amour né de mes rêves
Traversant le cœur de l’azur
insondable, embrouillé de routes,
mais, accompagné d’espérances
insignifiantes mais certaines,
je regarde la géographie secrète
plongée dans un éclat de neige,
territoire de ce qui est indéfini,
mirages de la liberté.
La fatigue est là, mais je ne me rends pas.
Il y a des coupures, mais je ne saigne pas.
Tant de fatigue, tant de douleurs,
Je les calme avec l’amour né de mes rêves
Fait d’une matière invincible
Que ne reconnaissent pas les gardiens.
Tony Guerrero (traduit de l'espagnol par Annie Arroyo)