Il faut s’y tenir droit
Et donner à son corps
Le goût de ses limites.
On y connaît l’épreuve,
La lutte et la souffrance...
On s’y consume en eaux,
On s’y consume en cris,
On y connaît la gloire
Vibrante ou la défaite,
L’indifférence morne,
La honte et les sifflets.
Il faut s’y tenir droit
Et passer de son corps
Quelquefois les limites.